Quoi de plus naturel que de commencer ce blog avec un premier article relatant de mes déboires avec l’internet ? Sinon relater mes bonheurs avec internet 🙂
Je vais donc vous conter mon aventure de l’internet sur ces 12 derniers mois, quelles ont été mes difficultés et comment j’en suis sorti. Je pense que ça peut aider d’autres personnes.
Ce thème fera l’objet de plusieurs billets afin de découper un peu l’histoire et permettre à ceux qui cherche de l’info de ne pas être abreuvé inutilement et parasité. Bonne lecture 😉

Je plante le décors

Je vais donc me présenter succinctement.
je m’appelle Jonathan, j’ai la trentaine et depuis 9 ans je suis « officiellement » développeur/intégrateur/webdesigner. Ouf ! rien que ça ! Autant dire qu’internet c’est plutôt « vital » pour moi, sinon comment manger ? sauf en faisant pousser des légumes dans mon jardin, mais ce n’est pas le propos ici n’y a même le thème de ce blog.

Depuis 1 an j’habite dans une charmante maison, que j’ai fait bâtir en compagnie de mon épouse. Nous avions un projet de longue date afin que mon épouse puisse réaliser son rêve de petite fille, une pension pour chevaux en semi-liberté. Mais pour cela il nous fallait vivre reculé à la campagne.

À la campagne il y a des tonnes de trucs à faire …

… mais pas d’internet !

Dur, très dur pour moi de revenir à la réalité. Alors qu’on soit bien clair, quand je dis « pas d’internet » ce n’est pas tout à fait exact. Il y a bien internet dans mon village, oui mais voilà en ADSL on tourne entre 0.5 mo/s et 3 Mo/s (dans le meilleurs des cas mais c’est hyper rare en vrai) ce qui est peu … surtout en 2017. Ce n’était pas vraiment une surprise, le NRA le plus proche est à 6 km, la perte est colossale avec cette distance, sans compter sur un réseau téléphonique déplorable en Dordogne.

6 mois de galère à développer pour mes clients sur un partage de connexion en mode modem de mon téléphone mobile. Je n’en pouvais plus ! j’ai écumé les différentes solutions existantes, discuté avec les voisins de ce « problème », mais peu comprenaient mes difficultés, car ils arrivaient à lire leurs mails, malgré la lenteur. Et je comprends très bien que les besoins ne soient pas les mêmes. J’ai donc songé à me déplacer pour travailler. J’ai été voir un espace de co-working dans la ville la plus proche (Périgueux est environ 30 min de voiture tout de même), j’ai été dans la bibliothèque du village voisin, une bourgade nettement plus habitée et qui a somme toutes des infrastructures.

Oui mais voilà ce n’était pas pratique pour les demandes urgentes ou de dernières minutes, n’y même pour effectuer des mises à jour sur mon poste de travail professionnel. Bref la belle galère !

Puis pendant les 6 derniers mois de l’année je suis parti pour une formation, dont je parlerais dans un prochain billet, à BORDEAUX. J’ai un peu laissé cette histoire de côté et je me suis concentré sur ma formation.

Revenus de celle-ci, j’ai repris mes recherches, il me restait une solution que je n’avais pas exploitée, du moins pas à fond et qui devenait de plus en plus prometteuse. La 4G !

À la camp4Gne on peut aussi se connecter

Alors oui en 2017 heureusement la 4G arrive en campagne, timidement, mais quand même. Et croyez le ou non, c’est elle qui aujourd’hui me sauve la vie, professionnellement parlant . Oui car elle m’offre un débit multiplié par 8-10 comparé à l’ADSL actuel, ce qui me permet de travailler sereinement dans 90% des cas. Reste que la stabilité du réseau est fragile et est conditionnée par des facteurs externes, comme la météo par exemple, mais nous y reviendrons.

to be continued …

Catégories : internetvie de dev

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